Pourquoi faire simple
Pourquoi faire simple ? Or, la vie serait bien fade si tout se déroulait suivant nos attentes routinières. D’ailleurs on sait ce qui arrive aux enfants gâtés .Privés de limites ils deviennent tout-puissants donc malheureux et tyranniques. Pauvres petits ! Mais à bien des égards nous sommes ces enfants surprotégés. Vous allez me rétorquer que tout n’est pas roses et que entre la pandémie, la frénésie vaccinale et tout ce qui en découle irrémédiablement : Chômage, privation de liberté et scission de la population en groupe antagonistes facilement intolérants, il y a de quoi se mettre la rate au court-bouillon.
Je vais maintenant vous narrer ce qui m’est advenu hier. Atteint par la cataracte je me suis fait opérer de l’œil gauche. Son copain de droite étant jaloux je décide d’être bienveillant à son égard. Un taxis doit m’emmener à la clinique à 8h 30, je consulte mon ordinateur pour avoir les résultats du test covid indispensable. Horreur ! Je ne peux pas ouvrir le message car pour cela il faut taper mon identifiant. Or celui-ci apparaît à l’écran avec des erreurs, des majuscules intempestives…Après plusieurs essais et même un copier-coller je renonce. Le taxis arrive. A deux kilomètres de là je réalise avec effroi l’oubli de mon dossier médical. Retour case-départ. Le chauffeur est en pleine forme et j’ai confiance. Mais en jetant un coup d’œil à son compteur, je constater que nous sommes à 110 à l’heure sur une route à 80… Enfin nous arrivons à bon port. Evidemment on me refoule : Pas de test. « C’est pas grave, on va vous le refaire ! ». Fort bien. « Votre carte vitale, svp ? » « Pas de problème ! Mon portefeuille… Je ne l’ai pas ! » « Vous l’avez peut-être oublié dans le taxis ? Pas grave il est encore là… ». Le chauffeur revient avec l’objet et en prime mon Smartphone également manquant ! Ouf !
J’attends de repasser le test. J’attends…j’attends. Enfin une infirmière m’accueille. « Mais pourquoi n’avez-vous pas téléphoné au laboratoire ? vous auriez eu le résultat sans attendre. » je peux donc retourner à l’accueil où on a besoin de ma carte vitale. On a oublié de me la rendre…Il faut donc que j’aille la rechercher. Enfin il est 11h30. C’est râpé pour ce matin ! je vais être opéré dans l’après midi. Au mépris de mes prévisions pourtant légitimes.
D’un seul coup tout bascule. Miracle ! Je me déshabille, enfile la tenue réglementaire, me laisse véhiculer le long des couloirs, dans les ascenseurs. Je suis un « patient » tout à fait conforme à la définition. Le chirurgien que je connais, est très accueillant, rapide et efficace. Tout se déroule comme sur des roulettes. Enfin on m’offre une collation et on me signale que le taxis pour le retour m’attend à la porte. Il est conduit par une dame qui est chargée de me véhiculer. Au mépris des gestes-barrière elle me fait monter à l’avant. Cela facilite le contact humain. D’emblée elle m’avoue se méfier de la vaccination qui va devenir incontournable pour tous ceux qui se préoccupent de leur avenir au jour le jour, tous ceux, des deux sexes qui ont besoin de se nourrir pour survivre, donc de travailler en entreprise ou ailleurs et qui ont besoin de s’occuper de leurs enfants. Le Délateur en moi susurre : « Tant pis pour eux, personne ne les a forcé à faire comme tout le monde et d’ailleurs ils auraient pu devenir moine ou nonne. Après tout on est libre ! Ah !Ah ! (rire démoniaque) ).
De retour j’ai pu aller chercher à la pharmacie les collyres indispensables. Le lendemain j’ai accueilli l’infirmière qui venait vérifier si tout se passait bien. C’est chose faite et c’est d’un regard apaisé que je peux regarder à la télé les infos de médias mainstream qui continuent de nous submerger de mensonges par omission et de fake news désopilantes de candeur et de bonne conscience , même si leur but inavoué est de nous faire peur, d’entretenir l’insécurité et de faire de nous des rats de laboratoire qui aident la science à progresser au prix de leur confort personnel. De leur vie ? Ce n’est pas grave, ils sont interchangeables. Et puis de toute façon tout le monde finit par mourir. Un peu plus tôt, un peu plus tard, c’est assez anodin au regard de l’Eternité qui nous cerne de toute part.
La Brosse Conge le 13 janvier 2022
Copyright Christian Lepère
Il court, il court le covid
il est passé par ici, il repassera par là !
Rassurez-vous victimes innocentes
Macron et ses copains
sont là !
pour nous sauver d'un funeste destin.